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EM

n°52 nov. / déc. 2015

(23)

associations

VOUS ADHÉREZ À UNE ASSOCIATION HUMANITAIRE OU À UNE

ASSOCIATION DE MALADES

Demandez à votre organisation de nous fournir des informations pratiques que nous pourrons relayer avec plaisir,

selon la disponibilité des emplacements.

BELLE & BIEN

Grâce à l’implication d’une centaine de bénévoles esthéticiennes

et coordinatrices et de 2 salariées, l’association organise des

ateliers de soin et de maquillage, pour des femmes en cours de

traitement contre un cancer. Ces ateliers ont lieu au sein des

établissements de soin et regroupe 12 personnes maximum.

Pendant deux heures, coordinatrices et esthéticiennes

permettent aux femmes de réapprendre à s’occuper d’elles, de

partager un moment de bien-être pour retrouver confiance et

estime de soi.

La coordinatrice bénévole s’occupera des patientes comme si

elle les recevait chez elle, en les mettant à l’aise, leur proposant

un thé, un café... Elle prendra soin de chacune d’entre elles

avec une attention toute particulière.

Le seul et unique but est de partager en toute convivialité

un moment de détente et de bien-être, pour ainsi les aider à

retrouver confiance et estime de soi.

Tous les produits utilisés au cours de l’atelier ont été

sélectionnés pour leurs vertus hydratantes et sont destinés

aux peaux sensibles et fragilisées. Ces produits sont mis à

disposition par les grandes marques de l’industrie cosmétique

et sont offerts dans une trousse remise à chaque participante.

Pour en savoir plus :

Programme «look good feel better»®

137, rue de l’Université – 75007 Paris

contact@bellebien.fr

Tel : +33 (0)1 56 69 67 72

Fax : +33 (0)1 56 69 67 18

www.bellebien.fr

L’INDUSTRIE DE L’ALCOOL

A BESOIN DE SANG NEUF

La Mutuelle des Etudiants (LMDE) s’engage contre la remise en

cause de la Loi Evin.

La loi Evin, votée en 1991, encadrant la publicité sur l’alcool vient

d’être remise en cause par un amendement lors des débats en

cours au Sénat sur la loi de modernisation du système de santé.

Alors que les premiers résultats de la 4

ème

enquête nationale sur

la santé des étudiants de la LMDE révèle que plus de la moitié

des étudiants (54%) déclare une alcoolisation ponctuelle

importante (consommation de 6 verres ou plus en une même

occasion) au cours de l’année écoulée, et que 57% d’entre eux

ont été ivres au moins une fois dans l’année.

LMDE, membre par ailleurs de l’Alliance Prévention Alcool,

collectif regroupant des associations de prévention, met en

avant la nécessité d’agir au nom notamment de la défense des

publics les plus exposés à la publicité parmi lesquels les jeunes.

L’industrie de l’alcool a besoin de sang neuf

!

Chaque année, l’alcool est responsable de la mort de 49000

personnes. Il est impliqué dans un tiers des accidents mortels

de la circulation - 1ère cause de mortalité et de handicap des

18-25 ans-, et dans la moitié des violences faites aux femmes.

D’après une récente étude de l’Observatoire français des

drogues et des toxicomanies, il coûterait 120 milliards d’euros

par an à la société !

L’alcool n’est pas un produit comme les autres. C’est le sens de

la Loi Evin qui limite la publicité sur l’alcool, notamment pour

préserver la santé des jeunes et des publics vulnérables.

En parallèle, depuis quelques années, les pouvoirs publics

encadrent la consommation d’alcool chez les jeunes :

interdiction de vente aux mineurs de moins de 18 ans,

limitation à 0,2 g/l de l’alcoolémie autorisé pour les jeunes

conducteurs.

Or les industriels de l’alcool veulent profiter d’une loi sur la

santé, pour réécrire la loi Evin. Les jeunes seront les cibles

idéales de nouvelles campagnes marketing. Car l’industrie de

l’alcool a besoin de sang neuf : en 50 ans, le volume d’alcool

consommé en France a été diminué par 2.

(Source communiqué de la LMDE)

Pour en savoir plus :

www.ldme.com

MON KINÉ VOIT ROSE

L’accompagnement LPG® :

Réparer « l’après » chirurgie pour retrouver rapidement une vie

active et sa féminité.

Le kinésithérapeute, acteur majeur de la réhabilitation.

Au-delà de la prise en charge purement médicale, les équipes

de santé ont pris conscience depuis une quinzaine d’année, de

l’importance du soutien psychologique dans le processus de

guérison, notamment à l’approche de la chirurgie et tout au

long des traitements de chimiothérapie ou radiothérapie. Mais

une fois ces lourdes étapes terminées, vers qui se tourner ? Le

kinésithérapeute tient une place primordiale dans la prise en

charge des patientes atteintes d’un cancer du sein. Car les effets

secondaires, outre le côté esthétique, sont souvent invalidants

et très douloureux (cicatrices, fibroses, lymphœdème, perte

d’amplitude articulaire…). Par ailleurs, en passant du temps

avec la patiente et en lui permettant de retrouver sa féminité

et sa mobilité, le kinésithérapeute apporte un véritable soutien

psychologique, indispensable dans cette dernière étape avant

le retour à la vie active.

Pour en savoir plus :

www.monkinevoitrose.fr