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n°41 Novembre / Décembre 2012
(22)
rubrique
associations
Une loi n’est pasunevague promesse
L’Association des Paralysés de France (APF) lance sa nou-
velle campagne, axée sur le thème de l’accessibilité. Avec
l’accroche «
Supprimons les obstacles qui paralysent
», l’as-
sociation veut sensibiliser l’opinion publique sur l’inacces-
sibilité des établissements recevant du public. En effet,
le retard pris en la matière, alors que la France devrait
être accessible à tous au 1er janvier 2015, pénalise quoti-
diennement les personnes en situation de handicap et leur
famille et de fait, les exclut de la vie sociale menée par
tout un chacun.
66% DU MONTANT DES CONTRIBUTIONS FAITES SUR CETTE
CAMPAGNE EST DEDUCTIBLE DE VOS IMPÔTS !
(Dans la limite de 20% de votre revenu imposable).
Un reçu fiscal du montant de votre don hors frais bancaires,
vous sera adressé par l’APF à la date de réalisation de la
campagne. Ce reçu vous permettra d’attester de votre don
auprès de l’administration fiscale.
L’APF, créée en 1933 et reconnue d’utilité publique, est
un mouvement national de défense et de représenta-
tion des personnes avec un handicap moteur et de leur
famille qui rassemble 32 000 adhérents, 25 000 béné-
voles et 11 000 salariés.
Pour plus d’informations,
rendez-vous sur le site :
Le sport pour vaincre la deprime
et le stress !
(association Loi 1901)
Le sport régulier habitue le corps à produire des efforts
continus qui élèvent le seuil de perception de la douleur.
À l’inverse, la sédentarité fragilise et abaisse le seuil de
douleur. Il faut donc proposer aux patients un sport « sur
mesure », car, bien utilisé et bien dosé, il peut exercer une
activité antalgique dans certaines pathologies, comme par
exemple dans l’arthrose. Mais le sport sans douleur existe-
t-il ? Y a-t-il des progrès s’il n’y a pas de douleur ? Faut-il
bouger ou bouger plus ?
L’exercice physique intense et l’entraînement sportif à l’en-
durance ont des effets à plus ou moins long terme sur l’état
psychique des sportifs : il génère une plus grande tolérance
à la douleur (avec des seuils inchangés), résultat qui pour-
rait être associé à la mise en jeu du système anti-nociceptif
béta-endorphinergique endogène.
Il pourrait également être à l’origine d’états d’euphorie et
d’états addictifs par la mise en jeu de ce même système
opioïde endogène.
D’un point de vue général, l’activité physique peut jouer
un rôle dans la gestion des maladies mentales telles que
la dépression et l’anxiété. Bien que les patients dépressifs
tendent à être moins actifs physiquement que les non
dépressifs, la pratique d’un sport et un entraînement
régulier peuvent réduire significativement les symptômes
dépressifs. Par ailleurs, l’interruption brutale d’une pra-
tique sportive soutenue peut entraîner l’apparition de
symptômes de type dépressifs et anxieux
Pour plus d’informations, les publications de l’Institut UPSA
de la Douleur, association de Loi 1901, sont disponibles en
téléchargement ou en commande à titre gracieux sur le
site internet :
odyssea
Octobre 2012, 26 000 participants à Paris, ont couru ou
marché sur 5 ou 10km au départ de l’esplanade du Château
de Vincennes, pour fêter les 10 ans d’Odysséa et son action
en faveur de la lutte contre le cancer du sein.
Grâce à ces milliers de participants, un chèque de 350
.
000
euros a été remis à l’Institut Gustave Roussy (Premier
centre européen de lutte contre le cancer) et à l’associa-
tion PROLIFIC.
Rendez-vous sur le site :
➜
Vous adhérez à une association humanitaire ou à une association de malades
Demandez à votre organisation de nous fournir des informations pratiques que nous pourrons relayer avec plaisir, selon la
disponiblités des emplacements
